La DREETS publie les chiffres du chômage trimestriel régional, départemental et par zone d'emploi.
Selon l’Insee, le taux de chômage du 4e trimestre 2022 est en baisse de 0,2 point sur un trimestre en Auvergne-Rhône-Alpes (6,1%) et de 0,1 point en France métropolitaine (7%).
L'évolution du taux de chômage est à la baisse dans onze départements : -0,3 point dans l'Allier (7,4%); -0,2 point dans l'Ardèche (7,9%), la HauteLoire (5,5%) et le Puy-de-Dôme (6,2%) et -0,1 point dans l'Ain (5,4%), la Drôme (7,7%), l'Isère (5,8%), la Loire (7,1%), le Rhône (6,2%), la Savoie (5,2%) et la Haute-Savoie (5,3%). Il est stable dans le Cantal (4,1%).
Sur un an, le taux de chômage régional est en baisse de 0,4 point. Le retrait est légèrement plus élevé qu'au niveau national (-0,3 point). La baisse est plus forte que celle du niveau régional pour les départements du Rhône (-0,5 point) et de la Haute-Savoie (-0,6 point). Elle est inférieure au niveau régional dans sept autres départements: -0,1 point pour la Loire, -0,2 point pour l'Ain et le Puy-de-Dôme; -0,3 point pour l'Allier, l'Ardèche, l'Isère et la Haute-Loire. Elle est identique à celle de la région pour les départements de la Drôme et de la Savoie. Seule, l'évolution du taux de chômage du Cantal est en hausse (+0,1 point).
Le taux de chômage régional du 4e trimestre 2022 (6,1%) est plus faible que celui du 4ème trimestre 2019 (7,1%), qui a précédé la crise sanitaire. La baisse du taux de chômage régional (-1 point) est identique à celle de la moyenne nationale. Le taux de chômage est en baisse dans tous les départements, oscillant entre -0,6 point (Ain) et -1,2 point (Allier, Drôme et Rhône). Il est plus favorable qu'avant la crise dans tous les départements.
La région passe au 4ème rang des régions présentant les taux les plus faibles de France métropolitaine, derrière les régions Bretagne et Pays de la Loire (5,8% pour ces deux régions) et Corse (6%). C'est dans les Hauts-de-France (8,7%) et en Occitanie (8,6%) que le taux de chômage est le plus élevé.
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