La Loire est un territoire en renouveau qui dispose de nombreux atouts. De taille moyenne, bien desservi par les infrastructures routières, il a certes perdu beaucoup d’emplois au fil du temps mais l’évolution démographique est de nouveau positive.
L’Isère est le deuxième département le plus peuplé de la région Auvergne-Rhône-Alpes, avec une forte densité (161 habitants au km²) malgré un relief montagneux valorisé par des activités touristiques.
Département atypique du fait de sa proximité avec la Suisse, le département est l’un des plus dynamiques de France du point de vue de sa démographie. La population augmente plus fortement et près d’un actif haut-savoyard sur cinq travaille en Suisse.
Département rural à vocation industrielle, la Haute-Loire se caractérise par un réseau de transport peu développé qui contribue à l’isolement de certains territoires. Le taux de chômage est structurellement inférieur à celui de la région.
La population de la Drôme est de 514 000 habitants, faisant du département le septième de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Valence Romans Agglo concentre 43% de la population d’un département peu dense (78 habitants au km2).
Territoire très faiblement peuplé, très peu dense, avec une population vieillissante, le Cantal reste à l’écart de la croissance démographique, en raison d’un solde naturel déficitaire et de difficultés liées à son enclavement géographique.
L’Ardèche est un territoire faiblement peuplé et peu dense, dont le réseau routier s’inscrit dans un relief difficile rendant les temps de transport plus longs que dans le reste de la région.
Porte naturelle entre le nord et le sud de la France, l’Allier est l’un des départements les moins densément peuplés de France et dont la population baisse légèrement.
L’Ain est un département très étendu et qui ne recense pas de métropole. Dynamisé par la proximité de Lyon et de Genève, la population de l’Ain augmente de manière importante (notamment dans la zone d’emploi du Pays de Gex).
Au cours du 2eme trimestre 2021, 141 500 demandeurs d’emploi inscrits en catégories A ou B ont repris un emploi d’une durée d’un mois ou plus. Ce nombre est en hausse de +18,6 % par rapport au 2eme trimestre 2020, qui avait été affecté par le premier confinement, mais également sur 2 ans (+13,0% par rapport au 2eme trimestre 2019).