en avril 2024 par Le Journal des Entreprises - Auvergne Rhône-Alpes
L’incubateur de Firalp accueille 8 nouvelles start-up de la formation et de la santé au travail
Firalp (3 000 salariés ; 450 M€ de CA), spécialiste rhodanien de la construction et de la maintenance de réseaux et des travaux publics vient de dévoiler l’identité des 8 lauréats de ses deux appels à projets à destination de start-up de secteurs de la santé et la sécurité au travail d’une part et des formations innovantes, de l’autre.
en avril 2024 par Le Journal des Entreprises - Auvergne Rhône-Alpes
La start-up iséroise Terriflux lève 600 000 euros de fonds
Implantée à Moirans (Isère), la jeune pousse Terriflux, éditeur de logiciels pour visualiser et scénariser les données de flux physiques de filières d’activité vient de lever 600 000 euros.
Solarhona, filiale de CNR (Compagnie Nationale du Rhône) spécialiste du développement de projets photovoltaïques, a inauguré sa première centrale solaire sur ombrières, au stade municipal Gabriel Coullaud de Portes-lès-Valence.
Les membranes du spécialiste des textiles techniques vont recouvrir plusieurs sites abritant des épreuves sportives et des visiteurs durant les Jeux Olympiques.
en avril 2024 par Le Journal des Entreprises - Auvergne Rhône-Alpes
Reverto lève 1,2 million d’euros pour prévenir les risques psychosociaux
La start-up lyonnaise Reverto, qui propose des formations utilisant les technologies immersives (VR) afin de prévenir les risques psychosociaux et des situations de crise, annonce avoir levé 1,2 million d’euros auprès de Human Matter et de Business Angels (complété par de la dette bancaire).
Ro.Ma Service : Le jour où… « J’ai décidé de prendre la suite de mon père et de mon grand-père »
Responsable commercial de Ro.Ma Service à Moirans, Florian Rollin a choisi de prendre les rênes de cette entreprise familiale trentenaire, spécialisée dans la fourniture de visserie-boulonnerie pour l’industrie.
en avril 2024 par La Tribune - Sociétés et entreprises
Digitalisation, robotisation, IA : Michelin veut garder l’humain au centre de son industrie
Michelin n’imagine pas de dark factories, ces usines sans être humain sur ses chaînes de production. Mais face à la robotisation croissante, la digitalisation et surtout l’avènement de l’IA, le groupe anticipe le fait que plus de la moitié des métiers qui existent aujourd’hui dans le groupe n’existeront plus à l'avenir. L’entreprise se prépare donc à ce changement en profondeur et forme ses salariés aux compétences de demain.