Elle est la première entreprise lauréate en Auvergne-Rhône-Alpes du volet spatial de France 2030. Pyxalis, PME innovante spécialisée dans les capteurs d’images de très haute résolution, va bénéficier d’une enveloppe de 500 000 euros afin de développer une caméra pour les satellites.
A Lorette, la société Ermont créée en 1924, est spécialisée dans la fabrication d’usines fixes ou mobiles pour la production d’enrobés routiers en intégrant jusqu’à 100 % de taux de recyclage. Plus de 1 000 installations ont été livrées dans le monde entier.
Implanté à Lyon depuis 2010, Technord, intégrateur de solutions au service de l’industrie du futur, engage une nouvelle étape de son développement, en renforçant sa présence en Auvergne-Rhône-Alpes.
De Paris à Rumilly, tout le monde connaît Sophie (la girafe). Plus rares sont ceux qui savent que c’est dans cette commune haut-savoyarde que sont fabriquées les Chocapic. Mais pas n’importe lesquels. La version bio des céréales “fortes en chocolat” qui nourrissent des milliers d’enfants chaque matin.
Depuis 2018, un centre de téléradiologie est opéré par Imadis à Bordeaux. Ce pionnier lyonnais de la télémédecine a bâti un modèle en pleine croissance pour prendre le relais des centres hospitaliers de taille moyenne en manque de médecins.
Le géant franco-italien des semi-conducteurs STMicroelectronics est présent à Grenoble depuis 50 ans. Le site, où il investit encore, abrite son son plus grand centre de R & D.
En pleine croissance, l’entreprise Mecaware qui met au point un procédé chimique unique au monde pour le recyclage de batteries, s’installe sur le site Usin Lyon Parilly de Vénissieux. La start-up s’apprête à y lancer sa phase de pré-industrialisation. Et à doubler ses effectifs.
Martoïa TP, à Ugine, a été créée en 1922 par Stefano Martoïa. Au fil du temps, les générations familiales se sont succédé. C’est Simon Martoïa qui dirige aujourd’hui cette entreprise de travaux publics, spécialisée dans le terrassement.
Depuis quelques années, la société costelloise a vu son activité confortée par le marché des objets publicitaires dans l’événementiel. Les gobelets personnalisables notamment s’avèrent une véritable locomotive pour cette entreprise qui en fabrique 7 millions chaque année.
Créer de l’emploi dans le cadre d’une activité d’insertion tout en valorisant des textiles usagés, tel est le cœur de l’activité du Tri d’Emma depuis une douzaine d’années. La structure vient de rajouter une nouvelle corde à son arc en lançant un atelier de couture « upcycling ». Une démarche là encore vertueuse pour l’économie et pour la planète.