Le groupe de logistique ardéchois Skipper vient de recevoir le prix “Stratégie logistique de l’innovation durable” à Paris. De quoi récompenser la “slow logistique” – la logistique lente – dans laquelle l’entreprise (qui sera centenaire en 2025) s’est lancée depuis près de quatre ans.
Porté par Grenoble INP - UGA (via Grenoble INP - Pagora et Grenoble INP - Génie industriel), et Clermont Auvergne INP (via Polytech Clermont), le projet BIORAF a été retenu lors de la saison 2 de l’appel à manifestation d’intérêt (AMI) "Compétences et métiers d’avenir". Le projet vise à développer des formations innovantes de niveau bac + 5 et bac + 8, pour la conception et l’intégration de procédés biotechnologiques au sein des bioraffineries valorisant la biomasse végétale.
A l'occasion d'une grande Conférence de l'eau, ce jeudi à Riom, élus, État et associations du Puy-de-Dôme doivent aborder l'enjeu de "la gouvernance de l'eau" dans un département très morcelé, doté de plus d'une centaine de structures en charge de l'eau potable (pour son traitement, sa distribution...). Le cas de l'Allier, qui a créé un syndicat départemental en 1992, est à ce titre scruté de près.
À l’occasion de la sortie du tome VI de son hors-série Les Champions de la RSE intitulé « La RSE au cœur de l’entreprise » consacré aux initiatives sociales, sociétales et environnementales, Bref Eco a organisé une Matinale des dirigeants à Lyon dans les nouveaux bureaux du groupe Paredes Orapi. Une table ronde sur le thème « Repenser la valeur : vers une économie circulaire et responsable ! » à laquelle ont participé François Thuilleur, Pdg du Groupe Paredes Orapi, Juliette Jary, directrice générale de Huggy, le Recrutement Circulaire, et Olivier Passot, président de Revol.
Fany Allarousse est responsable RSE au sein du groupe industriel Serge Ferrari (1 300 salariés ; 327 M€ de CA en 2023), spécialiste des toiles composites innovantes, depuis 2021. Elle explique comment l’entreprise, qui va fêter ses 40 ans cette année, a repensé toute sa stratégie RSE, afin de produire mieux avec moins et surtout de développer des produits utiles pour le monde de demain.
Depuis 2019, une startup peu ordinaire s’est installée au Biopôle Riom-Limagne. Son credo ? Créer la première marque au monde de cosmétiques bios fabriquée à base de légumes et fruits frais (Photo : Geneviève Colonna d’Istria)
Le fabricant oyonnaxien de flacons pour la cosmétique a eu l’idée d’utiliser une technologie existante pour réduire l’empreinte de sa matière première, le Polytéréphtalate d’éthylène (PET), le plastique de nos bouteilles d’eau. Un levier qui vient s’ajouter à celui des produits en 100 % recyclé.
Après avoir déjà investi trente-cinq millions d’euros en France ces dernières années, Renova poursuit sa montée en puissance dans l’Hexagone. Le groupe portugais Renova, spécialisé dans les produits de grande consommation liés à l’hygiène (papier hygiénique, mouchoirs en papier, essuie-tout) vient d’annoncer la poursuite de ses investissements dans l’Allier. Au programme l’implantation dans son usine de Saint-Yorre, près de Vichy, d’une nouvelle ligne de production pour 2025. Vingt emplois devraient être créés dans les deux ans et s’ajouteraient aux trente-sept actuels.
C’est fait. La société de Villefontaine Indra automobile recycling devient une filiale à 100 % de The Future is neutral, la branche d’économie circulaire automobile de Renault, co-détenue par Suez.