URBS : la start-up garde les pieds sur le territoire
« Spécialisée dans le développement d'outil numérique et le traitement de la donnée territoriale, la start-up URBS, co-fondée et dirigée par Maximilien Brossard et Jonathan Villot il y a un an et demi (après 5 ans de recherches et développement), accompagne les acteurs publics et privés dans leur projet de smart city et de transition énergétique. »
Guilhem Armanet, le nouvel homme fort de GRDF à la tête de la Région Sud-Est
« Guilhem Armanet vient tout juste d’être nommé Directeur Clients Territoires de GRDF en Région Sud-Est (Lyon 7e ) avec pour ambition d’accompagner la transition énergétique du territoire. Il est désormais à la tête d’une entité qui emploie plus de 2000 collaborateurs et distribue le gaz à plus de 2 millions de clients répartis au sein de 18 départements. » [Article intégral réservé aux abonnés]
« La Métropole et la périphérie lyonnaise sont riches d’un tissu industriel varié. Mais comment ces entreprises s’en sortent-elles pour traverser cette crise inédite ? Le député Jean-Luc Fugit a rencontré deux acteurs du territoire le 7 janvier : l’entreprise Image-Isaac et Rampa Travaux Publics. » [Article ntégral réservé aux abonnés]
« La start-up grenobloise BeFC participe cette année au CES virtuel de Las Vegas dont elle vient en amont de recevoir le CES 2021 Innovation Award Honoree, pour sa solution énergétique qui permet de créer de l'électricité à partir de papiers et d'enzymes. »
« Hormi peut-être l'éolien plus difficile à implanter sur le territoire, l'aire grenobloise concentre une grande diversité de ressources, de filières et de sites de production. Un rapide panorama local est proposé ici, du bois au photovoltaïque, en passant par la méthanisation et bien d'autres. »
« A Grenoble, le data center d'Eolas fait partie des premiers à avoir misé sur l'économie d'énergie. Il fonctionne grâce à des énergies renouvelables et utilise l'eau du Drac pour refroidir son système. Visite et explications. »
Suppression de 2.300 postes chez Michelin : « Nous n’abandonnons pas la France », assure Florent Menegaux
« Je veux être très clair : Michelin n’abandonne pas du tout la France. L’ambition de notre projet est que la France, berceau de Michelin, demeure un pays-clé de la transformation stratégique du Groupe dans les années à venir. Notre responsabilité économique consiste à renforcer notre performance globale tout en développant de nouveaux projets d’activités à forte valeur ajoutée. »
Michelin engage un projet de simplification et de compétitivité pour accompagner l’évolution de ses activités en France
« Michelin va mettre en œuvre un plan de simplification et de compétitivité renforcé afin d’améliorer significativement l’agilité et la performance globale de ses activités industrielles et tertiaires en France. Ce plan, qui s’inscrit dans une démarche de co-construction et de dialogue social large, s’appuiera sur la négociation d’un accord-cadre d’une durée de trois ans excluant tout licenciement. Il ne repose pas sur des fermetures de sites. »
Pour rebondir, Michelin va s'éloigner du pneumatique
« Face à un marché automobile difficile et à la rude concurrence sur les pneus low-cost, Michelin projette ses savoir-faire tous azimuts, de l'impression 3D aux piles à combustibles. Objectif : faire à terme un tiers de son activité hors du pneu. »
« C’est en toute discrétion que le groupe lyonnais ACI, créé de toutes pièces au printemps 2019 par Philippe Rivière et Patrice Rives, a bouclé en moins de 18 mois l’acquisition de 14 entreprises françaises (450 salariés, 50 millions d’euros de chiffre d’affaires). Ces deux anciens cadres du groupe WeAre, spécialiste de l’aéronautique, ont une stratégie bien établie en tête : créer des pôles de compétences mécaniques territoriaux capables de répondre aux grands donneurs d’ordre des secteurs de la Défense, de l’énergie nucléaire, de l’énergie hydrogène, du médical et de la maintenance aéronautique. » [Article réservé aux abonnés]